Sans territoire bien précis, sans drapeau, sans peuple, il n’y a pas lieu de dire que tel ou tel pays existe. En fait, selon les plus simples définitions données par les gens jouissant d’un minimum de connaissances, il n’y a pas de pays sans les trois conditions ensemble précédemment citées. Le terme patrie relève plus d’affection, plus d’attachement, plus d’intention d’amour fougueux, de volonté de sacrifice, de volonté pour faire de son mieux pour le bien de chacun et de chacune des compatriotes.
En effet, l’État est toujours responsable d’approfondir les sentiments d’attachement, de volonté de sacrifice, et de faire le mieux pour le reste du peuple. Aucune citoyenne, ni aucun citoyen ne peut jamais éprouver le sentiment d’être endetté envers la patrie, et les compatriotes sans être certain que la constitution du pays traite tous les citoyens sur le même pied d’égalité quelle que soit leurs tendances politiques positives envers le reste du peuple, quelle que soit le genre, la couleur, les besoins, les richesses qu’ils possèdent. Tout citoyen est capable de jouir de ses droits, et il se trouve en plaisir quand il remplit ses différentes responsabilités envers le reste des citoyens.
Quand le citoyen se sent égal aux autres citoyens devant la loi en tout ce qui concerne sa vie quotidienne, il est prêt à se sacrifier pour sauver la patrie, pour avorter toute tentative de destruction voulue contre le bien de l’État. En fait, citoyenneté équivaut à égalité. Quand le sentiment d’être égal aux autres, qu’ils soient riches ou pauvres, domine le cœur du citoyen, il cherchera lui-même à remplir ses diverses responsabilités envers le reste du peuple. La citoyenneté n’est pas une option de luxe mais une nécessité qui s’impose et une plante à être soignée par chaque citoyen pour fleurir sur le territoire de la patrie et devenir la protection contre les crises confessionnelles, contre le crime, contre les ennemis sous leurs différentes formes .
